La pollution et bébé : Risque d’allergie
Les tout petits, principalement durant leur première année de vie, sont plus exposés à la pollution de l’air que quiconque. La pollution due à la circulation automobile serait la principale responsable des allergies respiratoires (sensibilité à certains éléments) et allergies alimentaires de l’enfant…
A hauteur de pots d’échappement dans la poussette, sorties au milieu des villes embouteillées, les particules sont très facilement inhalées par le nourrisson… Cette exposition à la pollution routière peut avoir des conséquences sur les futures allergies de l’enfant.
Sensibilité aux poils de chat, aux acariens et aux moisissures ou encore allergies à certains aliments comme les oeufs, le soja et l’arachide… une récente étude canadienne démontre qu’une surexposition à cette pollution de l’air durant la première année de l’enfant augmente les risques que celui-ci présente des signes d’allergie plus tard. Ces gaz sont aussi toxiques et le préserver de ceux-ci au maximum ne peut être que bénéfique pour lui !
Il convient donc aux parents de veiller à ce que l’enfant ne sorte que lorsque la circulation des rues est fluide (en dehors des heures de pointe et hors des grands axes), de ne pas le sortir lors des pics de pollution, de privilégier les poussettes hautes ou les portes-bébé, et, si vous roulez avec votre bébé, d’activer le recyclage de l’air dans la voiture lors de la circulation en ville (l’habitacle de celle-ci étant très propice à l’accumulation des particules).
La météo peut avoir un grand rôle à jouer dans le choix des sorties, par exemple, il vaut mieux sortir avec bébé quand il fait frais, qu’il vente un peu ou même quand il pleut car la pollution sera plus facilement dissipée et évacuée. En revanche, quand il fait chaud et qu’il n’y a pas de vent, la pollution se concentre et stagne… même problème avec le brouillard qui facilitera d’inhalation des polluants…
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